Allergies saisonnières

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Yeux et gorge qui grattent, peau qui démange, éternuements, nez qui coule… les allergies dites saisonnières touchent de plus en plus de personnes.

Petit tour d’horizon de cette thématique de saison !

Comment cela fonctionne t’il ?

L’allergie est une défaillance du système immunitaire qui sur-réagit à des substances normalement inoffensives tels que la poussière, les acariens, les poils de chat ou encore les pollens les pensant dangereuses pour la sécurité de l’organisme. En tant normal et tant que la personne n’est pas en contact avec une de ses substances appelées « allergènes », elle parait en très bonne santé.
Mais l’allergie n’est pas quelque chose de « normal » comme beaucoup le pense. Il s’agit d’une véritable hypersensibilité et donc dysfonctionnement du système immunitaire. Si de nombreuses allergènes et formes d’allergies existent, au printemps ce sont surtout des manifestations ORL qui s’expriment à l’exposition aux pollens.

Le terrain « allergique »

En naturopathie, on considère l’allergie de manière holistique et on parle de « terrain allergique ». L’individu peut avoir une prédisposition innée (dans ce cas l’allergie peut même être manifeste dès la première année de vie notamment si un ou deux des parents sont allergiques eux-mêmes), mais il peut également évoluer vers l’allergie au cours de sa vie. Un bouleversement immunitaire important lié à des stress répétés, un microbiote altéré suite à des expositions chimiques fréquentes ou à une mauvaise hygiène de vie, un foie surchargé, ils existent de nombreux facteurs qui peuvent contribuer à faire basculer un terrain « sensible » du côté de l’allergisation.

Réponse médicale

L’accompagnement médical des allergies consiste en l’éviction des allergènes, une fois que ceux-ci ont été identifiés par des examens et tests préalables. Parfois la réponse médicale propose une désensibilisation pour permettre au corps de s’habituer progressivement à l’allergène en question. D’autre fois elle propose des traitements antihistaminiques. Ce suivi se fait avec un allergologue qualifié ou avec le médecin traitant suivant les cas.

Réponse naturopathique

En naturopathie, le praticien ne s’attache pas au symptôme ni à la maladie mais au terrain qui est souvent déséquilibré. Il cherche alors à le soutenir et en l’occurrence ici, à moduler l’immunité de manière holistique. Après avoir identifié d’éventuels causes et facteurs à l’œuvre, le praticien naturopathe, en complément de la réponse médicale, pourra proposer un rééquilibrage sur des axes spécifiques comme :

  • Travail sur l’intestin et microbiote grâce à une alimentation adaptée
  • Alimentation anti-inflammatoire et réglage alimentaire
  • Alimentation réduite en sources d’histamines
  • Soutien du foie et détoxification hépatique
  • Réduction du stress…

Une hygiène de vie adaptée (lavage de nez régulier, bouillote, activité physique douce, drainage ) ainsi que des plantes et compléments alimentaires comme le bourgeon de cassis, le sureau, le plantain, la quercétine, le manganèse ou encore des probiotiques, seront des atouts majeurs pour soutenir le terrain de manière globale. L’aromathérapie peut également être d’une aide complémentaire précieuse notamment grâce à l’huile essentielle notamment d’estragon quand l’individu en question peut les tolérer. Bien sur tout cela est à adapter au terrain individuel mais on comprend déjà qu’il n’est plus question de penser que l’allergie est une fatalité !

Prenez soin de vous !

Nina BOSSARD – NATUROPATHE

Consultante/formatrice en naturopathie

Auteure du « Guide NATURO spécial enfants » & « Renforcer l’immunité des enfants »

www.nina-bossard-naturopathe.fr
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www.instagram.com/nina_bossard_naturopathe

Gemmothérapie, des remèdes naturels

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Les bourgeons & jeunes pousses, des remèdes naturels parfaitement adaptés à la (re)vitalisation

Avez-vous déjà entendu parler de la gemmothérapie ou de la phyto-embryologie ?

Cette discipline qui étudie et utilise les propriétés des tissus des végétaux en croissance est une branche de la phytothérapie fascinante et parfaitement adaptée à la saison.

Qu’est-ce que c’est?

Bourgeons, jeunes pousses, radicelles d’arbres et d’arbustes, les parties embryonnaires des végétaux renferment toute la puissance de la future plante en devenir. Riche en de nombreux nutriments (vitamines, minéraux, eau vitale, oligo-éléments, phyto-nutriments), ils sont particulièrement (re)vitalisants, mais ce qui fait leur intérêt spécifique, c’est leur potentiel « informationnel ». Tout comme au stade embryonnaire ou fœtal chez l’humain, ces tissus sont composés de cellules encore indifférenciées, totipotentes et sont concentrés d’hormones de croissance. Détenant tout le patrimoine génétique de la plante, ils possèdent un exceptionnel large spectre d’actions. Par exemple, le macérât de tilleul agit autant sur le plan nerveux (propriété sédative retrouvée dans ses fleurs) que sur la détoxification (propriété drainante de l’aubier).

En gemmothérapie traditionnelle, les bourgeons, radicelles ou jeunes pousses sont macérés dans une mélange équivalent d’eau, de glycérine et de l’alcool* (macérât mère) puis dilués à la première décimale (1DH). Cette dilution au 1/10ème leur confèrent une action douce et profonde et tout à la fois très sécuritaire. Ils sollicitent peu de force vitale et engendrent très peu d’effets secondaires.

Porteurs de l’information de croissance et de régénérescence, ils occupent une place de choix dans la prévention et le soutien naturel de l’organisme. Bien sûr chaque plante répond à des sphères d’actions spécifiques à adapter au terrain de chacun. En cette saison, notre experte aime particulièrement recommander selon les besoins et particularités individuelles les bourgeons et jeunes pousses suivants :

Tableau extrait de « (Re)trouver l’énergie grâce à la cure de (re)vitalisation » de Nina BOSSARD paru aux éditions Jouvence en mars 2021

Les bourgeons peuvent s’utiliser seuls ou associés à d’autres. Notons que le bourgeon de cassis, adaptogène, potentialise les actions des bourgeons avec lesquels il est associé.

Conseils et précautions d’utilisation

Pour un adulte compter :

  • En macérât dilué (dilution 1DH) : 40 à 100 gouttes par jour (1 à 1,5 goutte/kilo de poids) diluées dans un fond d’eau et fractionnées en 2 ou 3 prises, à prendre à distance des repas. Dans votre magasin, vous trouverez la marque Le Gatillier®. Labellisés Nature et Progrès et Demeter, leur qualité est exceptionnelle.
  • En macérât mère (pas de dilution) : 5 à 15 gouttes par jour, diluées dans l’eau et fractionnées en 2 ou 3 prises, à prendre à distance des repas. Vous trouverez à titre d’exemple le laboratoire Herbalgem® ou Phytofrance®.
  • Utilisation traditionnelle : cure de 21 jours.
  • Toujours prendre l’avis d’un professionnel de santé avant toute utilisation. Certaines contre-indications ou interactions médicamenteuses existent.

Certains laboratoires proposent des gammes de gemmothérapie sans alcool (Aquagem®, Herbiolys®) pour les cas où l’usage d’alcool est déconseillé ou contre indiqué (stéatose hépatique, allergie à l’alcool, enfants, femme enceinte ou allaitante…).

Nina BOSSARD – NATUROPATHE

Consultante/formatrice en naturopathie

Auteure du « Guide NATURO spécial enfants » & « Renforcer l’immunité des enfants »

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Comment boire une eau de qualité?

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Comment boire une eau de qualité dans le respect de l’environnement ?

A la Biocoop, nous avons eu un coup de cœur pour le purificateur d’eau LaVie : une solution naturelle et zéro déchet qui valorise l’eau du robinet.

C’est quoi ?

Deux entrepreneurs français ont fondé en 2015 la société SOLABLE située à Lambesc, et mis au point et breveté un « procédé éco-durable de purification de l’eau » pour lequel ils ont reçu une récompense.

Il s’agit du purificateur d’eau LaVie : un dispositif sans filtre, qui assainit l’eau du robinet en 15 minutes de manière naturelle et sans produire de déchet.

Comment ça marche ?

Le procédé est précisément la photolyse du chlore par rayonnement UV-A qui entraîne une réaction d’oxydation complexe et totalement naturelle engendrant la purification de l’eau.

En plus de l’élimination du chlore, ce traitement permet également l’abattement de ses dérivés, des composés chimiques tels que certains pesticides ou traces de médicaments, des goûts et odeurs que l’on peut rencontrer dans l’eau du robinet.

A terme, la volonté des inventeurs est de proposer cette solution aux pays en voie de développement afin de leur permettre l’accès à la potabilité de l’eau.

Vous trouverez toutes les informations sur le site de LaVie

 

 

A Biocoop La Coumpagnié, la Pioline, nous proposons 2 modèles de purificateurs d’eau LaVie vendus avec leur bouteille de verre d’une contenance de 1 litre.

  • Modèle LaVie PURE anthracite : 195€
  • Modèle LaVie PREMIUM en bambou : 210€

N’hésitez-pas à venir goûter l’eau LaVie : un espace pour la dégustation est disponible à tout moment près des caisses.

 

Dominique – Naturopathe à Biocoop La Coumpagnié

L’eau, cet élément vital

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L’eau, cet élément vital

L’eau est indispensable à la vie. Pas d’eau, pas de vie. Si nous pouvons nous passer de nourriture pendant quelques jours, nous ne pouvons nous passer d’eau au-delà de quelques dizaines d’heures. L’eau est l’élément premier de notre organisme, constituant, selon notre âge, entre 65 à 80% de notre poids corporel, c’est dire son importance.

Les rôles de l’eau

Elément constitutif du sang, de la lymphe, du liquide céphalo-rachidien, et de chacune de nos cellules (eau intracellulaire), l’eau agit comme un grand transporteur, apportant éléments nutritifs aux cellules et emportant avec elles les déchets vers les organes de filtration et d’élimination.
Elle joue également un rôle thermique, permettant la régulation de la chaleur corporelle. Elle facilite la digestion, la circulation sanguine et est le support de toutes les réactions du corps. D’un point de vue naturopathique, l’eau est importante pour ce qu’elle emporte et non pour ce qu’elle apporte. Naturellement éliminée par les urines, par la peau, les poumons et les intestins, nous devons renouveler nos liquides d’en moyenne 3 litres d’eau par jour pour un adulte de poids moyen (à adapter selon les saisons et la dépense physique). Sur ces 3 litres, la moitié est apportée par l’alimentation notamment par les végétaux qui sont généralement gorgés d’eau. La moitié restante est couverte par l’eau de boisson.

L’or bleu de demain…

Après l’or et le pétrole, l’« or bleu ». L’eau est la ressource la plus convoitée de la planète, source de « méga profits ». Les géants de la finance parient sur sa valeur en hausse et de nombreuses banques et fonds de placements s’emploient à créer des marchés porteurs dans ce secteur, c’est dire son importance !

L’eau est une denrée essentielle qui s’appauvrit, et qui perd en qualité. L’homme, en polluant les nappes phréatiques et l’environnement, a abimé cet élément naturel indispensable à sa survie et à la survie de toutes les espèces. La qualité de l’eau n’est aujourd’hui plus du tout la même qu’auparavant. Et pourtant nous avons idéalement besoin d’une eau de boisson de qualité pour préserver notre organisme.

Une eau de qualité c’est une eau évidemment potable pour commencer mais pas que… C’est une eau impérativement peu minéralisée et exempte de pesticides, métaux lourds, perturbateurs endocriniens ou tout autre substance défavorables à la santé.

Les eaux en bouteille en plastiques sont un désastre écologique sans nom et sont suspectées de diffuser, à cause de leur condition de stockage, des perturbateurs endocriniens nuisibles à la santé. Mieux vaut donc s’en écarter au maximum. L’eau du robinet bien que traitée n’est pas non plus de qualité optimum. Les traitements obligatoires de l’eau de ville n’écartent en effet pas toutes les substances (résidus d’hormones, médicaments, pesticides, nitrates, aluminium, plomb). Certaines de ces substances ne font pas encore partie des paramètres à contrôler et nous n’avons pas encore suffisamment de recul pour dire si oui ou non à ces doses, elles peuvent causer du tort à la santé. Par ailleurs, 96 % des eaux du robinet contiennent des substances chlorées, qui, en contact avec les matières organiques de l’eau (bactéries par exemple), formeraient des substances suspectées d’être cancérigènes. .

Qualité de l’eau

Pour toutes ces raisons, l’eau de boisson devrait être à minima filtrée ou purifiée. Charbon actif, céramique, argile, lampe UV, il existe aujourd’hui différents moyens de filtrer et purifier l’eau. Chacun de ces systèmes ont leur spécificités (et leur prix). Comme pour de nombreux achats utiles, il est conseillé de se renseigner sur les avantages et inconvénients de chacun de ces systèmes avant de faire son choix. Attention également à bien changer / nettoyer ces filtres qui lorsqu’ils sont trop chargés, saturent et relarguent, telle une éponge trop gorgée, les substances indésirables normalement retenues par ces filtres.

L’eau devrait par ailleurs être peu minéralisée sans être totalement déminéralisée. Il faudrait envisager un ratio 120-150 mg/l de résidus à sec à 180°. Les testeurs TDS permettent de mesurer la minéralité de son eau. Attention donc aux systèmes de filtration qui déminéralisent totalement l’eau comme la plupart des osmoseurs inverse. Certains systèmes d’épuration permettent après filtration et déminéralisation de l’eau de la reminéraliser voir pour certains de la dynamiser. Les travaux du Dr Benveniste et du Dr Emoto ont démontré que l’eau enregistrait certaines informations (voir leurs travaux sur la mémoire de l’eau). La dynamisation est un processus qui permettrait de « revitaliser » l’eau pour lui conférer une qualité informationnelle favorable. Pour en savoir plus : « Le miracle de l’eau » – Masaru EMOTO.

S’hydrater au quotidien

Enfin, notons que l’hydratation, pour être optimum, doit suivre certains préceptes. A ce titre, il est conseillé de boire des petites quantités au fil de la journée, de préférence en dehors des repas afin de ne pas diluer les sucs digestifs nécessaires à la digestion. L’eau devrait être préférablement bue à température ambiante. Infusions, thés, et autres boissons chaudes devraient être préparées à l’aide d’eau de boisson (et non du robinet).

Pour aller plus loin

d’après les travaux du chercheur Louis-Claude Vincent, l’eau de boisson devrait avoir :

  • Un pH compris entre 6 et 7
  • Une faible minéralité : 120 mg maximum de résidus par litre à 180°c,
  • Une résistivité située entre 6 000 et 100 000 ohms et légèrement réductrice (rH2 entre 24 et 28)
  • Un rH2 (le potentiel d’oxydo-réduction) inférieur à 28

Nina BOSSARD – NATUROPATHE

Consultante/formatrice en naturopathie

Auteure du « Guide NATURO spécial enfants » & « Renforcer l’immunité des enfants »

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Plein champ sur Guillaume Longo

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Guillaume, du rayon au sillon

Plein champ

sur Guillaume Longo ex-responsable des Fruits et Légumes du magasin de Puyricard

On dit toujours que la persévérance est la première vertu de l’agriculteur. On peut dès lors dire sincèrement que Guillaume a les qualités espérées pour devenir un bon agriculteur.

Ses débuts professionnels sont plutôt classiques. Il exerce en tant que responsable pour un groupe de la grande distribution mais n’en tire aucune satisfaction. Un ami le présente alors à Robert Roussier, un maraîcher de Mallemort (13), qui a besoin d’aide sur son exploitation. Guillaume décide de changer radicalement de voie. L’alchimie fonctionne entre les deux hommes engagés dans la production de produits bio. L’heure de la retraite a sonné pour le propriétaire de l’exploitation et qui propose tout naturellement à Guillaume de reprendre la gestion des nombreux paniers de l’AMAP marseillaise. Mais en homme avisé, ce dernier ne se sent pas tout à fait prêt.

Il reprend donc le chemin des cours pour un Bac Pro Responsable d’Entreprise Agricole complétant sa riche expérience de terrain par tous les aspects théoriques, organisationnels et comptables inhérents à la gestion d’une exploitation agricole. Fort de ces nouvelles compétences il « bétonne » son dossier de financement pour le montage de son projet de maraîchage.

Financement en poche, il se met en quête de terres à exploiter. Mais il est difficile pour un jeune agriculteur de trouver un terrain où s’installer et Guillaume, « par des chemins de traverse agricole », devient responsable du rayon FL du magasin Biocoop de Puyricard. Il consacre son énergie à développer les filières locales et la sélection des produits sans cesser de prospecter le lieu de sa future installation…

La Coumpagnié serait-elle une courroie de transmission?

Un beau jour la SAFER (Société d’Aménagement Foncier et d’Etablissement Rural, organisme chargé de la distribution des terres agricoles) répond positivement à ces demandes et lui propose un terrain à Ventabren. Trois hectares de terre à amender car anciennement dédiés à la culture céréalière conventionnelle. Les analyses du sol révèlent sa pauvreté. Qu’à cela ne tienne, l’apport de matière organique et l’implantation de haies pour favoriser le retour de la biodiversité et des auxiliaires de culture l’enrichiront. Enfin, après plusieurs années de préparation, les travaux commencent et au terme de 2 mois d’efforts Guillaume sent qu’il se rapproche de son but. L’irrigation est déployée, le sol est gratté, 6 serres sont montées. Le travail est colossal mais il peut compter sur le soutien de ses proches et surtout la solidarité d’amis paysans jeunes ou expérimentés.

Là maintenant, Guillaume a bien tracé son sillon. Il est temps pour lui de mettre en terre ses milliers de plants.

Dès ce printemps, vous retrouverez dans les rayons de Pioline et de Puyricard ses concombres, fenouils, épinards, patates douces, choux…

A Puyricard Guillaume a passé le relai à Silvère notre nouveau responsable des Fruits et
Légumes.

La Bio nous rassemble encore et toujours.

 

Le vrac non-alimentaire, mode d’emploi!

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Le rayon vrac non alimentaire se simplifie!

En voici le fonctionnement :

Vous utilisez les produits des marques « Bulle Verte » ou « Coslys« ? Venez avec vos propres contenants (pourvu qu’ils soient propres) ou achetez-en un dans notre gamme réutilisable. Tarez le au rayon traiteur puis remplissez le avec le produit « Bulle Verte » ou « Coslys » de votre choix. N’oubliez pas de coller l’étiquette du produit correspondant sur votre contenant puis rendez vous en caisse.

schéma d'utilisation du vrac liquide biocoop

Vous utilisez les produits de marque « Biocoop« ? Il est indispensable d’être en possession du flacon vide correspondant au produit que vous désirez. Si c’est le cas remplissez le et passez en caisse nous en déduirons la tare automatiquement. Sinon il vous faut acheter le produit plein en rayon pour le recharger une fois vide.

schéma d'utilisation du vrac liquide biocoop

Ah! Et dans la mesure du possible, pensez à nous, faites attention aux débordements. N’oublions pas que le vrac vise à éviter le gaspillage!

la levure de bière : aliment revitalisant

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Les bienfaits de la levure de bière, aliment revitalisant

Qu’est-ce-que la levure de bière ?

La levure de bière est composée de champignons microscopiques de l’espèce SACCHAROMYCES CEREVISIAE, naturellement présents dans le sol et sur les végétaux.

Ces micro-organismes non pathogènes sont cultivés sur un milieu très riche en glucides qui leur sert de nourriture pour synthétiser vitamines, minéraux et protéines, d’où leur richesse en nutriments.

Composition :

40 à 50% de protéines dont tous les acides aminés essentiels

des vitamines, et notamment celles du groupe B (bonnes pour la peau et le système nerveux)

des minéraux

des polysaccharides (bons pour le système immunitaire)

Les bienfaits de la levure de bière :

  • Facilite la synthèse de kératine et renforce les ongles et les cheveux : Ongles cassants – cheveux ternes, fourchus, dévitalisés
  • Assainit et revitalise la peau en régulant la production de sébum : Peaux grasses ou acnéiques – peaux ternes et fatiguées
  • Aide à lutter contre la fatigue (grâce à sa teneur en vitamines B) : Manque d’énergie – fatigue

La levure de bière se présente sous deux formes :

La forme inactive :

  • Elle est obtenue par déshydratation à une température supérieure à 40°.
  • Elle est non vivante dans le sens où elle n’est plus fermentable.
  • Elle conserve néanmoins sa richesse vitaminique et minérale.

La forme vivante – active – revivifiable :

  • Elle est séchée à une température inférieure à 40°C afin de préserver ses propriétés thérapeutiques, en particulier l’activité probiotique, bénéfique à l’équilibre intestinal.
  • Elle renforce les ongles et les cheveux, assainit et revitalise la peau
  • Elle rééquilibre la flore intestinale : troubles digestifs – ballonnements – diarrhées aigües
  • Elle aide à lutter contre la fatigue et renforce le système immunitaire

Contre-indications :

  • En cas de candidose, supprimer les levures et notamment la levure de bière pour éviter de nourrir le champignon pathogène « candidas albicans »
  • En cas de maladies inflammatoires de l’intestin telles que la rectocolite ou maladie de Crohn, éviter la levure inactive.
  • En cas de traitement antidépresseur de type IMAO ou de la mépéridine (ou péthidine – un narcotique) car l’association avec la tyramine contenue dans la levure de bière peut causer une hypertension artérielle subite.

A Biocoop la Coumpagnié, nous proposons :

la levure maltée* sous forme de flocons

  • En vrac
  • En paquet de 150 g dans la marque RAPUNZEL (contient de la farine de blé)
  • En paquet de 100 g dans la marque BIOREAL (sans gluten – contient de la farine de riz)

La levure de bière vivante – ultra-active en comprimés chez Diétaroma en format de de 90 ou 180 comprimés.

* La levure maltée que n’est autre que de la levure de bière, additionnée de malt d’orge. Ce qui lui donne une saveur plus douce que la levure de bière classique

Utilisation de la levure de bière:

En paillettes ou flocons : 1 à 2 cuillères à soupe par jour à saupoudrer les aliments (salades, légumes, soupes, ou à incorporer dans certaines recettes)

En comprimés : le plus souvent 2 comprimés par jour (vérifier la posologie sur le flacon)

 

Vitalité et alimentation vivante

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Une vitalité débordante grâce à une alimentation vivante

C’est bientôt le printemps ! La nature bourgeonne, chantonne, fleurit, l’énergie du vivant bat son plein et nous nous sentons certainement portés par un élan de énergie. Vitalité vous avez dit ? Oui, vitalité. Mais qu’est donc finalement ?

La vitalité est un concept difficile à saisir puisqu’impalpable. C’est cette énergie du vivant qui insuffle l’énergie de vie ; qui génère le sentiment « d’avoir la pêche », « d’avoir du peps », de se sentir « en forme », qui permet de déplacer des montagnes et de faire face au stress au quotidien. C’est elle qui donne corps à nos fonctions vitales, nos organes, mais aussi à nos aspirations, nos projets, et qui soutient notre capacité adaptative, notre immunité et notre santé de manière générale.

Les bouleversements socio-économiques et écologiques (urbanisation, industrialisation, stress, rythme de vie effrénée…) sollicitent de plus en plus notre capacité vitale et tandis que nos besoins se décuplent pour faire face à ces sollicitations accrues, l’environnement naturel, lui, se dévitalise (appauvrissement des sols et des fonds marins, déforestation, pollution…). L’homme moderne alors qu’il a tout à portée de mains, est profondément impacté par ces changements.

Si la naturopathie est connue pour ses cures détox, elle l’est beaucoup moins pour ses cures de revitalisation et pourtant ! La vitalité est la base de notre équilibre ! Dans cette cure qui cherche à renforcer la vitalité, le naturopathe s’appuie sur de nombreuses techniques naturelles, avec évidemment en tête de liste, l’alimentation.

« Que ton aliment soit ton premier médicament » Hippocrate

Cet adage en dit long sur la place toute centrale et essentielle de l’alimentation sur notre santé. Tout ce qui constitue notre corps est issu de l’alimentation (comme je le dit souvent, notre structure organique ne tombe pas du ciel !). Elle est pour le naturopathe au centre de notre fonctionnement interne. Dans la cure de revitalisation, le principe est simple : l’alimentation doit se porter au maximum vers des aliments particulièrement vivants, régénérants, vitalisants, et à haute densité micro-nutritionnelle. Ces aliments font appel aux aliments utilisés dans l’alimentation vivante (1). La vitalité́ d’un aliment est fonction de son contenu enzymatique et nutritionnel. Elle est donc fonction de son potentiel biochimique, potentiel permettant de générer la vie et de régénérer le potentiel énergétique de l’organisme qui le consomme.

Qu’est-ce qu’un aliment vivant ?

Un aliment vivant est défini par l’intensité de la vie et de l’énergie qu’il possède et qu’il peut transmettre à son tour.

Comment se revitaliser avec les aliments vivants ?

Les aliments offrant le plus de vitalité sont les aliments dits biogéniques, qui génèrent la vie comme les graines germées, les algues fraiches, les jeunes pousses d’épinard, de betterave, radis, pissenlit, les herbes et aromates fraiches tels que le persil, ciboulette, basilic, les jus de fruits, de légumes et d’herbes, les produits de la ruche (pollen, gelée royale), les crudités de haute qualité cultivées en agriculture biologique voir en bio-dynamie (2). La teneur en micronutriments, en enzymes et en antioxydants de ces aliments est exceptionnellement élevée. Dans l’alimentation vivante, ils représentent 25% de l’alimentation.

Au coté de ces aliments, citons les aliments bioactifs, énergisants qui entretiennent et activent la vie. Ce sont les fruits et légumes crus (3) (ou cuits par des modes de cuisson particulièrement respectueux type vapeur douce), les fruits secs, les oléagineux : noix, amandes, noisettes, tournesol, courge… sous forme entière, concassée ou d’huiles crues…La teneur nutritionnelle de ces aliments ramenée à leur poids est moins intéressante que la 1ère famille, mais ils restent un choix de qualité intéressant, riches à la fois en micro et macronutriments (lipides, protéines, glucides). Ils représentent 50% de l’alimentation vivante.

Le reste de l’assiette doit se composer d’aliments dits biostatiques (viandes, poissons, œufs, légumineuses, crustacés …) qui sont considérés à la fois comme des aliments réparateurs mais qui peuvent s’avérer néfastes et encrassant si ils sont consommés en excès.

Plus que jamais, dans la cure de revitalisation, la qualité des nutriments doit être impérativement préservée. Issus d’agriculture à minima bio, de saison et de circuits court, les aliments devraient être consommés fraichement cueillis (ultra-frais) et préférablement crus afin de conserver intacts certains de leurs éléments vitaux. On peut, dans cette cure, qui dure de quelques semaines à quelques mois suivant les besoins, aussi faire appel à des super aliments tels que levure de bière, miso, baies rouges, spiruline pour vitaliser davantage l’assiette. Exceptionnellement riches en vitamines, minéraux, oligo-éléments ou enzymes digestives, ils sont très nutritifs et apportent de la vitalité sans être nécessairement très caloriques…

Alors prêt à revisiter votre assiette et faire le plein de vitalité ?

(1) Pratiquée il y a plus de 2 000 ans par les Esséniens, puis enseignée par les hygiénistes précurseurs de la naturopathie au XIXème siècle, l’alimentation vivante est loin d’être une pratique nouvellement à la mode.
(2) Mode d’agriculture pronée par Rudolf Steiner
(3) Attention : sur certains terrains, l’excès de crudité peut générer des inconforts digestifs. Si vous avez des problèmes digestifs, il convient alors de vous référer à un praticien naturopathe ou un nutritionniste avant de vous engager dans l’alimentation vivante

 

Nina BOSSARD – NATUROPATHE

Consultante/formatrice en naturopathie

Auteure du « Guide NATURO spécial enfants », « Renforcer l’immunité des enfants » & « (re)Trouver l’énergie grâce à la cure de (re)Vitalisation »

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Qu’est-ce qu’un hydrolat ?

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Utilisation des hydrolats pour la beauté et la santé de la peau

Les hydrolats ou eaux florales sont obtenus lors de la distillation de la plante aromatique à la vapeur d’eau.
Cette distillation résulte d’un côté en huile essentielle, très chargée en molécules aromatiques, et de l’autre en hydrolat qui contient des principes actifs sous forme naturellement dissoute et moins concentrée.

Certains hydrolats peuvent se prendre par voie orale à raison d’une cuillère à café ou à soupe dans un peu d’eau, comme par exemple l’eau de fleur d’oranger pour ses propriétés apaisantes ou la carotte en cure de 10 jours minimum pour son action stimulante hépatique et intestinale.

Ils s’utilisent également en externe sur la peau : le soir après un lait démaquillant pour parfaire le nettoyage de la peau, le matin comme lotion tonique pour réveiller la peau.

Laissez-vous guider en fonction des besoins de votre peau !

Tableau des hydrolats par types de peaux, Biocoop-la Coumpagnié

Il est possible d’associer plusieurs hydrolats.
Biotope des Montagnes propose d’ailleurs quelques synergies :

Tableau des hydrolats par types de peaux, Biocoop-la Coumpagnié

Comment prendre soin de sa peau naturellement ?

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Comment prendre soin de sa peau naturellement ?

Véritable interface entre l’intérieur et l’extérieur de notre corps, la peau est soumise en permanence à diverses agressions. Cet organe aux diverses fonctions, tactiles, sensorielles, protectrices, émonctorielles, agit également comme première barrière de défense immunitaire de notre organisme. En prendre soin c’est prendre soin de toutes ces fonctions, mais c’est aussi prendre soin de son image. A l’aube de la « nanocosméto », comment soigner sa peau de manière inoffensive et naturelle ? Petit tour d’horizon naturopathique

Peau & Nutrition

Ce qui constitue notre peau provient de notre assiette.

On oublie trop souvent que la peau se construit et se nourrit à partir de ce que l’on mange. En effet la matière dont sont constituées nos cellules est issue de l’alimentation, qui transformée par la digestion devient les nutriments indispensables à la régénération cellulaire. Ce qui constitue notre peau provient de notre assiette. Il faut donc veiller à lui apporter ce dont elle a besoin. Une eau de qualité faiblement minéralisée comme les eaux de source, des bonnes graisses telles que huiles végétales bio de première pression à froid riche en oméga 3 ou 6 (colza, noix, chanvre, pépins de raisins..) ou en vitamine E telle que huile de germes de blé, des vitamines du groupe B que l’on retrouve notamment dans la levure de bière, des protéines de qualité telles que quinoa, poissons, oeufs bio et enfin des fruits et végétaux issus de l’agriculture biologique préservant leurs qualités vitaminiques et minérales seront une bonne base nourricière pour notre enveloppe corporelle. La vitamine C, essentielle à la synthèse du collagène ou encore le silicium peuvent faire l’objet de cures épisodiques sous forme de compléments alimentaires. A la ménopause, un complément en huile de bourrache et d’onagre devrait suffire pour contrer les problèmes de sécheresse cutanée. Les facteurs environnementaux telle que pollution, UV, tabac, sédentarité, stress ambiant, exposent de plus en plus la peau aux radicaux libres, ces molécules responsables du vieillissement cellulaire (et donc cutané) précoce. Des cures d’antioxydants à l’aide de jus de légumes et de fruits bio, une alimentation riche en végétaux, en épices et en aromates seront de mise pour garder une peau de pèche. Les fruits et légumes colorés (carotte, abricot, fruits rouge …) sont tout spécialement conseillés pour la peau : leur richesse en eau, minéraux, vitamines notamment en bétacarotène et en vitamine C, leur confèrent des propriétés intéressantes si bien qu’on trouve même des crèmes à base de fruits ou de légumes !
L’alimentation doit également être adaptée aux besoins. La peau a des fonctions d’élimination : des excès alimentaires ou une alimentation de mauvaise qualité peuvent générer des surcharges internes qui chercheront à s’évacuer par les pores de la peau. On considère en naturopathie que c’est le cas de l’acné, des pellicules, des furoncles ou encore de l’eczéma… Dans ce cas il convient de rectifier son alimentation et de pratiquer une petite cure de détox afin d’accompagner la prise en charge de ces surcharges.

Hygiène de vie « cutanée »

Outre l’alimentation, l’hygiène de vie est la deuxième clef fondamentale pour préserver et renforcer son potentiel beauté. Sous l’effet de l’influence du stress et de la sédentarité, nos tissus s’engorgent, se ternissent, s’abiment, se ramollissent. Une activité physique régulière permet de faire circuler le sang et la lymphe et soutient de nombreuses fonctions métaboliques auxquelles n’échappe pas notre peau. Le repos, le sommeil et la gestion du stress sont déterminants pour optimiser la régénération cutanée. L’utilisation de techniques hydriques (douche écossaise, bains de vapeur, sauna, hammam…) est toute indiquée : le froid raffermit la peau, le chaud permet d’éliminer les toxines, détend, relaxe… Les rituels beauté tels que masque à l’argile, rhassoul, gommage, brossage à sec, peuvent s’ajouter à ces pratiques.

Des produits de cosmétique naturels

Enfin, est-il utile de rappeler ici l’importance de la qualité des produits cosmétiques ? La peau est une surface d’échange importante. Se mettre de la paraffine ou autres produits issus de pétrochimie sur le visage n’engage rien de bon ni pour notre peau ni pour notre santé. Il est vivement recommandé d’utiliser au maximum des produits simples, naturels et biologiques. Les hydrolats font d’excellents toniques, des huiles végétales ou de l’aloé-véra peuvent se substituer à des crèmes ou des laits et lorsqu’on se tourne vers des crèmes ou gammes de beauté, mieux vaut choisir des gammes les plus naturelles et biologiques possibles. Les labels cosmétiques bio nous permettent de les identifier, le taux d’ingrédients biologiques et naturels également. Chacun de ses labels a des niveaux de garanties très différents, plus ou moins exigeants : pour en savoir plus sur les différents labels et savoir de quoi ils parlent vraiment, se renseigner ici www.mondebio.com/cosmetiques_bio.php. Bien sûr, cela engage à lire attentivement les emballages ou de se faire conseiller, mais notre peau ne vaut-elle pas cette attention ?

 

Nina BOSSARD – NATUROPATHE

Consultante/formatrice en naturopathie

Auteure du « Guide NATURO spécial enfants » & « Renforcer l’immunité des enfants »

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