Le pouvoir du souffle : les conseils de notre naturo Nina

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Le pouvoir du souffle !

Inspire…Expire…La respiration est un inconditionnel de la vitalité : c’est grâce à elle que chacune de nos cellules sont oxygénées et fabriquent de l’énergie.

Technique revitalisante, relaxante et à la fois fortifiante (elle permet le développement de la musculature profonde, renforce la concentration et le système immunitaire…), elle est facile et accessible à tous H24.

Utilisée comme interface entre le corps et l’esprit, elle est également un excellent moyen pour accéder à son ressenti et moduler ses émotions. La sophrologie, la méditation et la relaxation utilisent à ce titre des exercices respiratoires pour permettre la conscientisation de son état physique et psycho-émotionnel. D’autres utilisent la respiration pour renforcer la santé. C’est le cas de la cohérence cardiaque, qui permet, grâce à une fréquence respiratoire particulière (6 respirations par minutes, 5 minutes 3 fois/jour) la régulation de taux de dopamine, de sérotonine, d’ocytocine* et de cortisol à l’origine de la régulation de l’humeur et de l’énergie. Pratiquer et se rééduquer à la respiration profonde et ventrale chaque jour est un véritable gage de vitalité et de bien être.

En dehors du développement de sa capacité respiratoire, la qualité de l’air est un élément fondamental à la santé. Si renouveler l’air intérieur (maison, bureau, voiture), pratiquer une activité physique ou encore prendre un bol d’air en nature de temps à autre devraient être pratiqués régulièrement, certains ustensiles peuvent permettre d’enrichir l’air en particules favorables à la pleine vitalité. C’est le cas du bol d’Air Jacquier, mais aussi des ioniseurs* ou des diffuseurs d’huiles essentielles. Utilisés au quotidien qui se révèlent très efficace. A ce titre, les huiles essentielles d’Eucalyptus, de Ravintsara, de Lavande, de Thym, de Pin ou tout mélange dit « respiratoire » diffusés quelques minutes par jour à l’aide d’un diffuseur électrique (éviter les brûles parfums qui oxydent les huiles) permettent de renforcer et libérer la sphère respiratoire parfois encombrée en cette période et retrouver un nouveau souffle* !

*1 Neurotransmetteur qui favorise l’attachement

*2 Appareil qui assainit l’air et libère, à la différence d’un purificateur d’air, des ions négatifs ayant pour vocation de neutraliser les particules polluantes de charges positives.

*3 La diffusion d’huile essentielle est à éviter en présence de bébé, d’enfant en bas âge ou de personnes asthmatiques sans avis médical.

Nina Bossard

Naturopathe & Formatrice en naturopathie

06.50.48.58.78.

www.nina-bossard-naturopathe.fr

Agrumes : les conseils de notre naturo Nina

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Les agrumes sous leurs multiples facettes ! 

Orange, clémentine, mandarine, citron, kumquat, pamplemousse…

Riches en vitamines, en fibres, en minéraux (calcium, potassium…) et tout à la fois pauvres en calorie (40 à 45 Kcal/100 g environ, seulement 32 pour le citron), les agrume se classent au rayon des aliments santé ! Cela tombe bien les étales des fruits et légumes en regorgent en cette saison. Leur gros avantage nutritionnel réside dans leur forte teneur en vitamine C. Booster de l’immunité, de la vitalité et précurseur du collagène, cette vitamine protège des maux d’hiver ; est appréciée pour son action antifatigue et participe à la régénération cellulaire des tissus conjonctifs tels que la peau, les os et les cartilages.

Elle favorise l’absorption du fer et participe à la synthèse de l’adrénaline et des corticoïdes, ces fameuses hormones du stress. Les agrumes sont également de véritables concentrés d’antioxydants, des substances qui luttent contre le vieillissement et l’oxydation cellulaire. Ce sont principalement des polyphénols qui sont présents dans les agrumes dont les flavonoïdes tels que la limonine, la nomiline, l’erlocitrine et notamment l’hespéridine qui a la particularité d’améliorer la résistance des capillaires et des vaisseaux sanguins et contribue à diminuer la pression artérielle. D’autres polyphénols seraient bénéfiques pour contrer la prolifération des tumeurs cancéreuses notamment au niveau de l’œsophage, de l’estomac et du côlon.

Quel agrume consommer ?

Chacun des agrumes est pourvu de propriétés spécifiques.

L’orange est la plus riche en polyphénol et en vitamine C. Une orange couvrirait à elle seule de 60% à 70% des besoins journaliers en vitamine C faisant d’elle une alliée contre les maux d’hiver. Le citron quant à lui stimule les sucs gastriques et la production de bile, il soutient le foie et aide à détoxiquer l’organisme. Le pamplemousse est réputé pour ses effets minceur, anticellulite et anti-cholesterolémiante ; ceci notamment grâce à la naringine, un flavonoïde aux vertus antioxydantes, qu’il contient et qui lyse les lipides sanguins.

Comment les choisir ? 

Si on peut en utiliser les zestes et arômes à travers les huiles essentielles*, rien ne vaut de les consommer frais et de varier les espèces. Des variétés d’agrumes moins connues comme les  citrons bergamote ou cédrat ou encore les kumquats sont tout autant intéressantes et bénéfiques pour la santé. Mieux vaut les consommer entiers pour bénéficier de tous leurs bienfaits. Pour choisir ses agrumes au milieu des étales, préférez les bio (la peau des agrumes renferment les pesticides), fermes et lourds comparativement à leur taille. Leur couleur par contre, elle, a peu d’importance. Précautions :La consommation d’agrumes est à éviter en cas de reflux gastro-œsophagien, et dans les trois heures qui précèdent ou suivent l’ingestion d’anti-acides gastriques car ils augmentent l’absorption de l’aluminium contenus en ceux-ci.

Par ailleurs ils abîment l’email des dents et certaines personnes dévitalisées peuvent avoir des difficultés à métaboliser les agrumes de manière générale, ce qui peut tendre à une acidification de leur terrain. Le pamplemousse est à éviter en cas de prise médicamenteuse : la naringine augmente la concentration des médicaments dans le sang : c’est le cas de plus d’une quarantaine de médicaments. Cela vaut également pour les extraits de pépins de pamplemousse que vous retrouvez au rayon des compléments alimentaires, qui au passage, se révèlent particulièrement efficaces pour soutenir l’immunité et combattre les agents infectieux, et ce même chez les enfants !

Les agrumes n’ont décidément pas fini de nous séduire… Alors à vos agrumes !

Très belle et heureuse année 2020 à chacune et chacun d’entre vous,

*les huiles essentielles de zeste d’agrumes sont photo-sensibilisantes, il convient de ne pas s’exposer au soleil après application cutanée. Les huiles essentielles n’étant pas anodines et pouvant se révéler puissantes, faites vous conseiller par un pharmacien, naturopathe, aromathérapeute ou médecin avant de les utiliser.

Nina Bossard

Naturopathe & Formatrice en naturopathie

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Profiter des fêtes : les conseils de notre naturo Nina

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Comment profiter pleinement des fêtes ?

La première des solutions consiste à cuisiner des plats végétariens et utiliser des aliments sains pour préparer vos mets festifs. De nombreuses recettes abondent aujourd’hui sur internet et les réseaux sociaux en ce sens et cela devient beaucoup plus accessible qu’avant de modifier ses habitudes alimentaires même lors de festivités en proposant des options festives, jolies et savoureuses différentes de ce qu’on connaît habituellement.

Mais lorsque révolutionner sa manière de manger et de festoyer ne convient pas à toute la famille?

Ou que, invité(e), vous ne pouvez avoir de maîtrise sur les menus, les ingrédients et les modes de cuisson, quelques principes naturels peuvent vous accompagner pour passer sereinement les fêtes sur le plan digestif.

  • Avant les fêtes, faites le plus léger possible. Soupes de légumes le soir, poissons blancs, protéines végétales le midi pour remplacer la viande, peu d’alcool ou d’excitants…
  • Le jour des festivités, faites un petit déjeuner léger, prenez une cuillère d’huile d’olive bio avant un grand repas afin de faciliter la digestion notamment hépatique et éviter les sensations de surcharge
  • Limitez l’apéritif : choisissez les propositions les plus saines (tapenade, crudité, houmous…) et limitez les quantités en prenant le temps de bien mastiquer. Ceci vaut également pour tout le repas
  • À table, évitez les mélanges d’alcool, concentrez vous sur un type de vin et buvez un verre d’eau entre chaque verre. Limitez vous sur le pain. Prenez le temps de vous servir et d’adapter les quantités à votre faim tout en sachant que d’autres plats arriveront par la suite. Savourez chaque bouchée, mangez en conscience, calmement et mastiquez !
  • Évitez à tout prix les trous normands qui accélèrent la vidange gastrique
  • Faites le choix des bonnes associations : viandes ou poissons avec légumes et non avec des féculents, ou féculents et légumes…
  • Évitez de consommer du cru en fin de repas (mandarine, salade…). Prenez les en début ou en dehors des repas lorsque cela est possible
  • En fin de repas, mettez vous une goutte d’huile essentielle de menthe poivrée sous la langue pour favoriser la digestion
  • Apres les repas, allez marcher, vous dégourdir les jambes et vous aérer l’esprit
  • Buvez de l’eau et des tisanes digestives (romarin, menthe…) entre les repas pour faciliter l’épuration rénale
  • Le soir ou les jours qui suivent : jeûnez, faites vous des bouillons de légumes, des tisanes digestives à base de romarin, de menthe, limitez viandes, charcuteries, pâtisseries, alcools. Bougez pour éliminer les excès et reposez vous si les fêtes se sont prolongées tard dans la soirée …

Profiter de ces instants de retrouvailles, célébrer la vie tout en étant dans la conscience de soi et de ses besoins, à chaque moment, voici ce que je vous souhaite pour cette fin d’année !

Lumineux mois de décembre à toutes et à tous !

Nina Bossard

Naturopathe & Formatrice en naturopathie

06.50.48.58.78.

www.nina-bossard-naturopathe.fr

« Menu inspiré » par BioChef

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Deux soirées, deux regards, deux chefs…

Pour cette 5ème édition notre dîner gastronomique franco-américain se déroulera dans le restaurant « BioChef » 

 4 rue Pierre de Coubertin 13100 Aix en Provence

Réservation avant le 25 novembre 2019 (places limitées)

à serge@biocoop-lacoumpagnie.fr

Vendredi 29 venez déguster les déclinaisons de Cyril Giordano :

« Menu Inspiré »

  • Amuse Bouche

Œuf basse température de chez Sophia à Esparron,

bouillon de champignons au shampoing persil

  • Entrée

Velouté de butternut, potimarron et panais rôtis,

noix torréfiées et huile de noix, pousses de maïs de Baptiste

  • Plat

Ballotine de Dinde farce traditionnelle,

patates douces et pommes de terre caramélisées,

carottes glacées et choux de Bruxelles translucides,

 jus de volaille

  • Alternative végétarienne 

Gratin de légumes, farce traditionnelle,

patates douces et pommes de terre caramélisées,

carottes glacées et choux de Bruxelles translucides,

  • Dessert

Tarte Pumpkin pie muscade revisitée,

chantilly vanille sorbet pomme/cannelle

  • Pain biologique

de la Fabrique à Pain

Prix unique : 37€

 

« Menu Traditionnel » par La Coumpagnié

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Deux soirées, deux regards, deux chefs…

Pour cette 5ème édition notre dîner gastronomique franco-américain se déroulera dans le restaurant « BioChef » 

4 rue Pierre de Coubertin 13100 Aix en Provence

Réservation avant le 25 novembre 2019 (places limitées)

à serge@biocoop-lacoumpagnie.fr

Jeudi 28 venez déguster la proposition de Jean-Bernard Jugnon:

« Menu Traditionnel »

  • Apéritif

Vin Chaud en apéritif

  • Plat

Dinde et ses accompagnements traditionnels américains

  • Dessert

Assortiment de Cheese Cake, Pecan Pie et Pumpkin Pie

Adultes : 29€

Enfants : 19€

Merveilles de ruche : les conseils de notre naturo Nina

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Les produits de la ruche au service de notre immunité.

Qui n’a jamais goûté aux saveurs sucrées du miel ?

Rentrés dans les mœurs depuis des siècles, les produits de la ruche sont récoltés par l’homme pour s’alimenter mais aussi pour se soigner. Petit tour d’horizon de ces merveilles naturellement fabriquées par les abeilles à l’approche de l’hiver…

Le pollen 

Le pollen est la semence mâle produite par les étamines des fleurs que les abeilles récupèrent en butinant les fleurs. En les apportant à la ruche elles les triturent de leurs enzymes salivaires ce qui leur confèrent en partie leurs activités antibactériennes. Riche en fer, zinc, vitamines B ou E, le pollen contient également de petites quantités d’antioxydants, des probiotiques et des substances immunostimulantes. Chaque pollen a des propriétés distinctes mais ils s’utilisent tous en prévention sous forme de cure de quelques semaines, notamment à l’approche de l’hiver. Le pollen de ciste est réputé pour protéger la flore et les muqueuses intestinales. Il est donc particulièrement intéressant pour renforcer un système immunitaire affaibli. La gelée royale  La gelée royale est une substance sécrétée par les glandes  hypopharyngiennes et mandibulaires des abeilles nourricières pour alimenter la ruche. Riches en vitamines notamment en vitamine B5, en  oligo-éléments et en facteurs antibiotiques particulièrement actifs sur les bactéries de type Escherichia coli B, la gelée royale est particulièrement intéressante pour ses propriétés immunostimulantes. Une cure en début d’hiver est tout à fait adaptée pour soutenir le système immunitaire. Elle est également tout à fait appropriée à une cure de revitalisation ou en cas de convalescence. C’est sous sa forme fraiche qu’elle est la plus intéressante.

La propolis

La propolis provient des résines d’arbres récoltées par les abeilles pour colmater et assainir leur ruche. Elle est composée à ce titre d’une proportion importante de résines, d’huiles essentielles et de cire, de vitamines, d’oligoéléments et de nombreux flavonoïdes. Antibactérien et et antiseptique elle s’utilise plutôt à titre curatif que préventif. En spray nasal elle nettoie le nez de ses impuretés. En gargarisme diluée dans l’eau ou sous forme de pastille ou de résine pure à mâcher elle est un remède naturel particulièrement efficace contre les maux de gorge. Les extraits hydroalcooliques ou les gélules peuvent également être pris pour assainir la sphère intestinale ou renforcer l’immunité.

Le miel

Issu du nectar des fleurs et des enzymes salivaires des abeilles, le miel est composé d’eau, de sucres (fructose et glucose principalement), de minéraux (potassium, calcium…) et de protéines, acides aminés et enzymes et autres substances immunitaires. Antibactérien et immuno-modulant, il agrémente parfaitement des tisanes de thym ou d’échinacée ou autres herbes médicinales. Pendant l’automne et l’hiver, choisissez des miels d’eucalyptus, de sapin ou encore de thym, spécifiques des voies respiratoires. ( ! prudence chez le diabétique, contre-indication chez les enfants de moins de 1an)

Tous les produits de la ruche sont vendus principalement en pharmacie ou en boutique bio au rayon alimentaire (pollen), au rayon frais (gelée royale) ou des compléments alimentaires (propolis, gelée royale) ou encore au rayon surgelés (pollen).  A noter : les propriétés du pollen s’altèrent sous l’effet de la lumière et de la chaleur, mieux vaut donc le choisir surgelé.

Qualité

Préférer des produits locaux ou du moins français, frais et de qualité biologique. Faire appel à des petits apiculteurs locaux c’est, du moins on l’espère, éviter l’exploitation délétère des abeilles. La culture de pollens ou de gelée royale nuisent en effet au bien-être des abeilles, considérées comme des « reines de la survie » par l’INRA,[1], dont le rôle est  pourtant fondamental à la préservation de la biodiversité. Il est alors judicieux de limiter la consommation de ces produits de la ruche, pour des raisons éthiques et écologiques et de choisir des laboratoires « raisonnés ».

Point de vigilance 

Les produits de la ruche contiennent des substances allergènes. Ils sont à utiliser avec précaution et à introduire progressivement selon la tolérance ou sensibilité allergique de chacun et à éviter sur des terrains détectés comme allergiques. La gelée royale riche en phyto-hormones est à éviter en cas de pathologies hormono-dépendante.

[1] http://www.inra.fr/Grand-public/Ressources-et-milieux-naturels/Tous-les-dossiers/Abeilles-pollinisation-biodiversite-pesticides/Abeilles-pollinisation-et-biodiversite

Nina Bossard

Naturopathe & Formatrice en naturopathie

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Journée Mondiale de l’Alimentation

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La FAO célèbre chaque année, le 16 octobre, la Journée mondiale de l’alimentation qui commémore la fondation de l’Organisation en 1945.

Avec des événements organisés dans plus de 130 pays, cette journée est l’une des plus importantes manifestations du calendrier des Nations Unies. Ces événements sont destinés à promouvoir la sensibilisation et l’action en faveur des populations qui souffrent de la faim, ainsi que la nécessité d’une sécurité alimentaire et de régimes nutritifs pour tous. La Journée mondiale de l’alimentation est l’occasion d’appeler à renouveler l’engagement envers l’Objectif de développement durable n°2, et de souligner le rôle de la FAO en tant que chef de file des efforts pour la Faim Zéro depuis la création de l’Organisation.

Après une période d’amélioration, la faim dans le monde est à nouveau en hausse.

Aujourd’hui, selon le rapport 2018 sur l’État de la sécurité alimentaire et de la nutrition dans le monde, 821 millions de personnes souffrent de sous-alimentation chronique. Les conflits, les phénomènes météorologiques extrêmes liés au changement climatique, à la récession et aux niveaux de surpoids et d’obésité en hausse rapide inversent les progrès accomplis dans la lutte contre la faim et la malnutrition. L’heure est venue de redresser la barre. Le monde peut atteindre la Faim Zéro si tous les pays, continents, secteurs et professions unissent leurs forces en s’appuyant sur les résultats et les meilleures pratiques.

70 pour cent des pauvres de la terre vivent dans les zones rurales où ils dépendent de l’agriculture, de la pêche ou de la sylviculture. C’est pourquoi la Faim Zéro appelle à une transformation de l’économie rurale.

Mais l’emploi et la croissance économique ne suffisent pas, surtout pour les victimes de conflits. La Faim Zéro va au-delà de la résolution des conflits et de la croissance économique, en adoptant une approche sur le long terme pour bâtir des sociétés de paix inclusives.

Tandis que des millions de personnes ne mangent pas à leur faim, 672 millions d’autres sont obèses, et 1,3 milliard sont en surpoids. Nous avons le pouvoir de changer les choses.

La Faim Zéro signifie agir ensemble pour garantir que partout sur la planète, tous aient accès à une alimentation sûre, saine et nutritive. Pour ce faire, nous devons adopter un mode de vie plus durable, travailler main dans la main, partager notre savoir-faire et être prêts à changer le monde – pour le mieux.

 

Monodiète de raisin : les conseils de notre naturo Nina

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Et si c’était le moment de faire une cure de raisin ?

Principes et bienfaits :  

Distincte du jeûne, qui propose l’éviction de tout aliment, la cure de raisin fait partie des monodiètes, qui consistent à ne s’alimenter que d’un seul aliment. De saison, pratique et assez simple à mettre en œuvre, c’est une des cures naturopathiques les plus connues. Le principe de cette cure détox est simple. En ne s’alimentant que d’un seul aliment, les processus de digestion sont limités. Le corps redirige cette énergie au service de l’élimination des toxines.

Riche en acides organiques, tanins, anthocyanes, flavines, fibres et eau, le raisin est à la fois un diurétique, un draineur de l’intestin, du foie et un antioxydant. Sa richesse en sels minéraux, comme le potassium, fer ou sélénium, participe à soutenir l’organisme et préserve du vieillissement tissulaire ! Ses effets sont particulièrement spectaculaires sur les problèmes de peau (teint, cerne, acné…). Cette cure automnale permet de se débarrasser des toxines en excès et de renforcer son système immunitaire. Elle est donc idéale en préparation hivernale.

Comment mener une cure de raisin ? 

La cure de raisin se fait traditionnellement sur plusieurs jours, mais ceci est fonction de sa motivation et de sa vitalité. Alléger l’assiette les jours précédents (protéines, féculent) prépare l’organisme et favorise le processus de détoxication. Pendant la cure, du raisin bio sera consommé à volonté, selon les besoins de chacun. Assurez vous d’en avoir une quantité suffisante. Il est conseillé de bien s’hydrater (eau, infusion) et se reposer pendant les jours de cure. Parfois des petits maux peuvent apparaître les deux premiers jours de la cure : maux de tête, nausées, diarrhée, insomnies. Ces signes sont les révélateurs de la mise en marche de l’élimination des toxines, néanmoins s’ils perdurent au-delà de deux jours, c’est le signal que le corps n’arrive pas à suivre l’afflux de toxines. Dans ce cas, il est préférable d’arrêter la cure et de demander conseil à un naturopathe ou autre spécialiste. Une activité douce comme la marche ou le yoga sont particulièrement recommandés pour favoriser la circulation et l’évacuation des toxines et éviter ce genre de désagrément. La détente ou le repos facilitent également les fonctions de drainage et de détoxication. C’est l’occasion rêvée pour écouter ses signes de fatigue et de se coucher tôt. Les personnes constipées devront préalablement procéder à un lavement ou une « purge » avant et pendant la diète afin d’éliminer les résidus de la digestion et d’évacuer plus librement les toxines sans inconfort.

Après la cure, il est conseillé de suivre une remontée alimentaire en réintroduisant progressivement et dans l’ordre inverse les aliments évincés (légumes puis féculent puis protéines…) et de garder de bons principes alimentaires en faisant la part belle aux légumes et fruits de saison.La reprise alimentaire est une phase intéressante pour intégrer et / ou consolider des principes alimentaires sains au quotidien et repartir sur de bonnes bases pour le reste de l’année.

Alors à vos grappes!

Retrouvez nos conseillères en magasin :

  • à Pioline, Soumaya et Laetitia
  • à Puyricard, Linda

Nina Bossard

Naturopathe & Formatrice en naturopathie

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Manger Bio et Local, c’est l’idéal

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« Manger bio et local, c’est l’idéal » est une campagne d’information destinée à mieux faire connaître l’agriculture biologique, ses pratiques, ses circuits de commercialisation et ses contributions positives pour l’environnement, la santé et la dynamique de nos territoires. C’est aussi une occasion chaleureuse de venir à la rencontre des hommes et des femmes qui l’incarnent au quotidien, du champ à l’assiette, à travers un programme varié d’événements organisés dans les fermes et sur les lieux de vente : visite de ferme, marchés, cueillettes, dégustations, repas, jeux, expositions, conférences, animations…

Depuis 2011, cette campagne est relayée par l’ensemble des groupements d’agriculteurs bio départementaux et régionaux du réseau de la Fédération Nationale d’Agriculture bio auxquels Biocoop apporte son soutien directement depuis 2017.

C’est l’occasion pour nos magasins de Pioline et Célony :

⦁ d’appuyer la régionalisation et le partenariat Biocoop avec les organisations locales et régionales des agriculteurs et des transformateurs bio & locaux
⦁ de mettre à l’honneur des productions locales de nos territoires et les porteurs des projets
⦁ de sensibiliser nos client(e)s au modèle de production qu’ils souhaitent soutenir, à la transparence des provenances des produits bio

Pour la 9ème année consécutive, les agriculteurs-trices et acteurs de l’Agriculture Biologique se mobilisent pour aller à la rencontre des consommateurs et des citoyens et leur faire découvrir les produits bio locaux à travers des animations variées. A cette occasion, des rendez-vous auront lieu à la découverte de l’agriculture bio locale, de ses valeurs, de ses circuits de commercialisation et de ses acteurs. Le climat sera mis à l’honneur autour de la déclinaison du slogan « Manger Bio et Local, c’est bon pour le climat ».

Le bio et le local ne s’opposent pas, bien au contraire ils se complètent. La consommation de denrées alimentaires produites localement réduit le nombre d’intermédiairesdiminue les transports polluants et contribue activement à renforcer la vitalité économique de nos territoires.

L’agriculture biologique maintient la qualité des eaux    

Elle évite la contamination des nappes phréatiques et des cours d’eau, en utilisant des produits de traitement des plantes et de soins des animaux d’origine naturelle.
Ces produits, moins nocifs pour la flore ou la faune aquatiques, permettent de préserver le milieu écologique des eaux des rivières.
L’eau est déchargée de substances toxiques ce qui permet aux collectivités territoriales de réaliser des économies importantes en réduisant les coûts liés au traitement de dépollution eaux.

pour en savoir plus: http://eauetbio.blogspot.fr/

L’agriculture biologique diminue les gaz à effet de serre    

En diminuant l’utilisation d’énergies non renouvelables, en réduisant les besoins en produits agrochimiques (qui exigent l’utilisation de grandes quantités de combustible d’origine fossile), et en usant de pratiques agricoles qui favorisent le stockage du carbone dans les sols, l’agriculture biologique permet de limiter l’impact du secteur agricole sur le bilan carbone et lutte ainsi contre le réchauffement climatique.

Pour aller plus loin : http://www.rac-f.org/Agriculture

L’agriculture biologique respecte le bien-être animal

En bio, l’élevage hors-sol est interdit : ni porcs élevés sur des dalles de béton, ni poules en cages. Les animaux, ont accès à l’extérieur et quand ils sont à l’intérieur ont droit à une litière en paille bio. Lorsqu’ils ont besoin de se faire soigner, on utilise en priorité l’homéopathie et la phytothérapie. Les traitements antibiotiques sont tolérés mais limités. Le délai légal avant commercialisation est doublé.

Pour en savoir plus, visitez le site internet dédié à l’événement!

Nourrir nos enfants : les conseils de notre naturo Nina

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Parce que l’alimentation est le premier pilier de la santé devant l’activité physique, il est important d’y porter une attention toute particulière quand il s’agit de nos enfants.

Pour nos enfants, une alimentation bio, locale et de préférence faite maison.

Une alimentation riche en légumes et fruits de saison, des protéines (viande, œuf, poissons, légumineuses) et des féculents variés (sarrasin, kamut, petit épeautre, patate douce, millet…), des huiles végétales de première pression à froid (colza, chanvre, noix, sésame…), des fruits oléagineux… sont à la base d’une alimentation saine, notamment si leur origine est « bio » et que la cuisine est faite maison à partir de produits de saison.

Il est recommandé d’éviter les produits industriels et les plats déjà préparés pour les enfants. Ce type d’aliment est dénutri (on considère une déperdition de l’ordre de 15 à 30% de vitamines) et, puisque dénutri dès lors enrichi en vitamines de synthèse, en conservateurs, en sucres, en acides gras souvent pauvres (huiles de palme, graisses hydrogénées) ou autres substances additives tels que colorants, exhausteurs de goûts, anti-oxydants, édulcorants, émulsifiants, gélifiants, épaississants, phosphates, nitrites, sulfites…aux effets mal connus et mal maîtrisés ou considérés comme toxiques si consommés à des doses dépassant les normes autorisées.

Rappelons-nous que nous sommes ce que nous mangeons et que l’alimentation des premières années est le fondement d’une croissance saine.

Alors portons une attention particulière à la qualité des aliments et ce, spécialement auprès de nos enfants.

Retrouvez nos conseillères en magasin :

  • à Pioline, Soumaya et Laetitia
  • à Puyricard, Linda

Nina Bossard

Naturopathe & Formatrice en naturopathie

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