Sauvons les abeilles … pour nous sauver !!!

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Albert Einstein prévint l’humanité que

si l’abeille disparaissait de la surface du globe, l’homme n’aurait plus que quatre années à vivre, plus de pollinisation, plus d’herbe, plus d’animaux, plus d’hommes.

Quelques chiffres :

  • La reine est capable de pondre en moyenne, 2000 œufs par jour, ce qui fait 130 000 par an et 500 000 dans sa vie.
  • Les abeilles adultes vivent durant un temps très court 20 à 30 jours en été et jusqu’à 170 jours en hiver.
  • Les abeilles vivent en colonies et chaque colonie peut contenir de 10 000 à 100 000 abeilles.
  • Dans une journée de 24 heures, une colonie comportant près de 40 000 abeilles (10 000 butineuses), visite un total de 21 millions de fleurs.
  • Une abeille visite environ 700 fleurs par jour.
  • 1 abeille butinerait plus de 8 millions de fleurs, pour fabriquer un pot de 500 grammes
  • Les abeilles se déplacent dans un rayon de moins de 5 km autour de la ruche afin de collecter le miel.
  • Les abeilles pollinisent 80 % des plantes à fleurs du monde…
  • Selon une étude de l’INRA et du CNRS, 35 % de la production mondiale de nourriture est directement dépendante des pollinisateurs. La valeur du service de pollinisation des insectes a été estimée à 153 milliards d’euros, soit 9,5% de la valeur de la production agricole mondiale.
  • Avec la disparition des abeilles, c’est 65 % des plantes agricoles qui sont menacées, soit 35 % de notre alimentation.
  • Les cultures maraîchères et fruitières dépendent par exemple à 90 voire 100 % des abeilles
  • Les Etats-Unis ont dû importer massivement des abeilles d’Australie pour leurs vergers de pommes et leurs champs de myrtilles.
  • Des personnes connues mais aussi des villes essayent de donner l’exemple comme la ville de paris qui compte plus de 300 ruches.
  • D’après l’UNAF (l’Union Nationale d’Apiculture Française), certaines ruches urbaines produisent plus qu’à la campagne, ce qui montre les conséquences néfastes de la monoculture, de l’agriculture intensive et de l’usage des pesticides. Alors qu’on récolte en moyenne 20 kilos par ruche en rase campagne, la moyenne à Paris est de 30 kg à 50kg par ruches.

 

Le seul prédateur de l’abeille à l’échelle planétaire, c’est … l’homme moderne.

Source : Les Croqueurs de Pommes à Puyricard. http://croqueursdeprovence.fr/